...dans l’espace qui me suit;
dans mon infinie galaxie.
L’univers est mon domicile
dans les ruelles de la ville.
Les chaussures sur le trottoir
qui se trottinent une à une.
Dans une folle trajectoire,
ma conscience est sur la lune.
Et s’il fallait le refaire...
J’éviterais ce lampadaire.
Anonyme du Web
Et telle une évidence, Anonyme du Web, ce grand poète méconnu, répond à mes questions du commentaire précédent... ;-)
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
:-)
SupprimerLes pieds ancrés au sol mais la tête dans les étoiles, c'est parfait je trouve, tout comme l'est ta photo, cher Alain ! :-)
RépondreSupprimerJe cherchais quelque chose pour illustrer la photo, et je suis tombé un peu par hasard sur ce texte qui m'a semblé bien coïncider…
Supprimerj'ai bien aimé aussi les photos de nuit chez toi…
Nous sommes à l'ère des lampes connectées dans nos intérieurs, nous jouons ainsi au maître des lumières, changeant d'ambiance au gré de nos envies.
RépondreSupprimerA l'extérieur la lune s'impose et nous impose selon ses phases une pleine lumière ou non. Elle joue parfois à cache cache avec nous et peut même décider de paraître le jour sur fond de ciel bleu.
Nous voilà bien petit devant notre lampadaire face à cet astre de lumière.
Ça me rappelle une séquence du film « les visiteurs ». Quand Jacquouille la fripouille découvre l'électricité : jour ! — Nuit ! — jour ! — Nuit !— jour ! — Nuit !
Supprimer;-)
En ce temps-là on ne se croyait peut-être pas encore les maîtres de l'univers !
Le web est plein d'anonymes qui écrivent des choses jolies.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ta photo qui associe la lumière des hommes et celle de la nature.
Ici c'est le lampadaire qui gagne, mais la lune attend la prochaine panne électrique pour avoir le dernier mot ! ;)
Le Web est aussi rempli d'excellentes photographes ! Dont une en particulier…
Supprimer