C'est magnifique ce que j'ai ressenti en apercevant ton tableau. Oui, j'ai vu l'âme'nimalité traverser l'écran. Les animaux sont des personnes pour moi. kéa
Merci pour ce beau commentaire. Je n'irai pas jusqu'à dire que les animaux sont des personnes, mais en tout cas le bipède que nous sommes est capable de les personnifier. De cette manière est offerte cette possibilité de nous apprendre un certain nombre de choses.
Une interprétation très personnelle des chevaux bleus de Franz Marc. Le résultat est puissant, impressionnant. Beau. En ce qui concerne les animaux, je serais tentée de partager l'avis de Kéa. Il y a quelques décennies, Brazelton en a étonné plus d'un en affirmant que le bébé était une personne (on croyait alors qu'il n'en avait pas encore l'aptitude et depuis on a fait tant de découvertes sur la vie des tout-petits et sur la vie intra-utérine). Je crois qu'on n'est pas encore en mesure de connaître toutes les facettes du vivant. Peut-être que nous sommes, en tant qu'êtres humains, trop portés à nous autocentrer, à croire à notre supériorité. En fait, notre supériorité est relative : elle porte essentiellement sur des aptitudes technologiques, qui peuvent beaucoup, en positif, en extraordinaire, mais aussi en pire,et en pire du pire... Très beau dimanche à toi.
Le tableau original a provoqué sur moi une certaine fascination étrange. Ma petite création a rajouté plusieurs plans et quelques effets. En sorte que le cheval jaune dans la partie supérieure a pris tout à coup une attitude humaine, comme si les deux autres chevaux jaunes étaient une forme de costume décoratif. Cela m'a amené au titre retenu. Ton commentaire porte plus loin sur les formes infinies du vivant. Et puis cette tendance à toujours penser que nous sommes le centre de tout. Comme au temps où la terre était le centre de l'univers et que tout gravitait autour d'elle. (Ptolémée). On finira peut-être par abandonner cet orgueilleux concept de supériorité. Nous ne sommes qu'un petit maillon de l'univers. Même pas indispensable, probablement… merci pour ce commentaire que j'apprécie beaucoup.
Je vois beaucoup de force, et une certaine agressivité dans ces chevaux qui semblent former un barrage contre … je ne sais quel danger, peut-être ! Même les couleurs me heurtent. J'ai un peu de mal avec cette composition. Quant au sujet sur l'âme des animaux… mais c'est un joli jeu de mots.
En effet, j'ai fait le choix d'une certaine dureté. À certaines étapes de la création, c'était plus tendre, mais ça ne m'a pas plu… pourquoi ? Peut-être devrais-je montrer toutes les étapes à mon psychanalyste ! Mais, malheureusement, je n'en ai pas. Le choix du titre est dans la réponse au commentaire de Dad.
Saisissant et un rien angoissant : l'homme est un animal, ça c'est certain. Un loup pour lui-même, un mouton aimant suivre le troupeau, le bestiaire est infini. Mais le mouvement du tableau, et l'étoile en haut à gauche, tout cela anime d'une étincelle d'espoir la cruauté des visages. •.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Au regard de l'évolution, nous venons à peine d'apparaître sur cette planète en tant que capacité à se penser soi-même. Il faut que le reste suive de notre évolution pour sortir de nos comportements animaux. Peut-être arriverons-nous un jour à nous humaniser vraiment… ? Mais toi et moi, il y a longtemps que nous serons redevenus poussières d'étoile et peut-être aurons nous une petite chance de retourner sur l'astéroïde B612 du Petit Prince.
Merci pour le « tant d'humanité ». Peut-être qu'il faut une certaine rage pour aller vers l'inaccessible étoile La rage et l'énergie du « croyant en l'humanité »
C'est magnifique ce que j'ai ressenti en apercevant ton tableau. Oui, j'ai vu l'âme'nimalité traverser l'écran. Les animaux sont des personnes pour moi. kéa
RépondreSupprimerMerci pour ce beau commentaire.
SupprimerJe n'irai pas jusqu'à dire que les animaux sont des personnes, mais en tout cas le bipède que nous sommes est capable de les personnifier. De cette manière est offerte cette possibilité de nous apprendre un certain nombre de choses.
Une interprétation très personnelle des chevaux bleus de Franz Marc. Le résultat est puissant, impressionnant. Beau. En ce qui concerne les animaux, je serais tentée de partager l'avis de Kéa. Il y a quelques décennies, Brazelton en a étonné plus d'un en affirmant que le bébé était une personne (on croyait alors qu'il n'en avait pas encore l'aptitude et depuis on a fait tant de découvertes sur la vie des tout-petits et sur la vie intra-utérine). Je crois qu'on n'est pas encore en mesure de connaître toutes les facettes du vivant. Peut-être que nous sommes, en tant qu'êtres humains, trop portés à nous autocentrer, à croire à notre supériorité. En fait, notre supériorité est relative : elle porte essentiellement sur des aptitudes technologiques, qui peuvent beaucoup, en positif, en extraordinaire, mais aussi en pire,et en pire du pire...
RépondreSupprimerTrès beau dimanche à toi.
Le tableau original a provoqué sur moi une certaine fascination étrange.
SupprimerMa petite création a rajouté plusieurs plans et quelques effets. En sorte que le cheval jaune dans la partie supérieure a pris tout à coup une attitude humaine, comme si les deux autres chevaux jaunes étaient une forme de costume décoratif.
Cela m'a amené au titre retenu.
Ton commentaire porte plus loin sur les formes infinies du vivant. Et puis cette tendance à toujours penser que nous sommes le centre de tout. Comme au temps où la terre était le centre de l'univers et que tout gravitait autour d'elle. (Ptolémée).
On finira peut-être par abandonner cet orgueilleux concept de supériorité. Nous ne sommes qu'un petit maillon de l'univers. Même pas indispensable, probablement…
merci pour ce commentaire que j'apprécie beaucoup.
Je vois beaucoup de force, et une certaine agressivité dans ces chevaux qui semblent former un barrage contre … je ne sais quel danger, peut-être !
RépondreSupprimerMême les couleurs me heurtent. J'ai un peu de mal avec cette composition.
Quant au sujet sur l'âme des animaux… mais c'est un joli jeu de mots.
En effet, j'ai fait le choix d'une certaine dureté. À certaines étapes de la création, c'était plus tendre, mais ça ne m'a pas plu… pourquoi ? Peut-être devrais-je montrer toutes les étapes à mon psychanalyste ! Mais, malheureusement, je n'en ai pas.
SupprimerLe choix du titre est dans la réponse au commentaire de Dad.
Saisissant et un rien angoissant : l'homme est un animal, ça c'est certain.
RépondreSupprimerUn loup pour lui-même, un mouton aimant suivre le troupeau, le bestiaire est infini.
Mais le mouvement du tableau, et l'étoile en haut à gauche, tout cela anime d'une étincelle d'espoir la cruauté des visages.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Au regard de l'évolution, nous venons à peine d'apparaître sur cette planète en tant que capacité à se penser soi-même.
SupprimerIl faut que le reste suive de notre évolution pour sortir de nos comportements animaux. Peut-être arriverons-nous un jour à nous humaniser vraiment… ?
Mais toi et moi, il y a longtemps que nous serons redevenus poussières d'étoile et peut-être aurons nous une petite chance de retourner sur l'astéroïde B612 du Petit Prince.
Une horde sauvage en marche
RépondreSupprimervers l'inaccessible étoile
et pourtant
tant d'humanité se dégage de cette création
merci pour vos mots in my home
Merci pour le « tant d'humanité ».
SupprimerPeut-être qu'il faut une certaine rage pour aller vers l'inaccessible étoile
La rage et l'énergie du « croyant en l'humanité »