En faisant quelques classements,
je constate que j'ai un certain nombre de photos sur ce thème.
Voici donc une nouvelle série…
(Cliquez sur les photos pour les agrandir)
| Esnandes (Charente-Maritime) - Eglise fortifiée |
Belle série, j'aime beaucoup photographier les portes chargées d'histoire, moi aussi…
RépondreSupprimerBon dimanche Alain !
L'histoire que nous portons, et qui nous a portés.
SupprimerMerci de ton passage, Pascale
Beaucoup de symboles au travers de la porte.
RépondreSupprimerA chacun de voir … à l'extérieur sa beauté, sa richesse, le travail des mains qui ont su sculpter, travailler le fer, savoir faire, message…
Mais également l'imaginaire qui rêve ou tente de percer ce qui se cache derrière cette porte…
Très beau et vaste sujet.
Merci, Angedra.
SupprimerIl y a comme tu dis le travail des hommes. Aujourd'hui, les portes « ordinaires », c'est souvent le travail des machines. Tout est standardisé, ou presque !
Et aussi, quelles vies derrière les portes ? Les présentes et passées. Plus ou moins j'y ai pensé en faisant ces photos depuis quelques années….
La suite bientôt…
Comme vous, il m'est impossible de visiter un lieu historique, sans être happée par les serrures, les heurtoirs, les loquets, la qualité du bois des portes anciennes. Revisitant mes photos de vacances, j'en trouve des dizaines. Il y a quelque chose de fascinant, dans ces détails qui évoquent le travail de l'artisan qui les a réalisés, le temps que cela lui a demandé. Détails qui signent aussi la fermeture ou l'ouverture possible, la force des symboles qu'ils portent. Et la part de mystère : qu'y a-t-il donc là derrière ? Et qui détient la clef ? L'imagination est stimulée. Le goût esthétique comblé. Aller de porte en porte est une jolie manière de visiter. Belles photos. Douce soirée.
RépondreSupprimerNous partageons donc la même fascination. Il y a toujours le mystère du « quoi derrière la porte » et l'extraordinaire travail des artisans. J'ai un ami ébéniste qui travaille en restauration du patrimoine classé. Il faut l'entendre de sa « communion » de gestes avec l'artisan d'origine, mort depuis plusieurs siècles…
SupprimerDans la série, la dernière fait un peu figure d'intruse. Je ne l'aurais pas mise là...
RépondreSupprimerMais ce n'est que mon ressenti.
La deuxième est ma préférée...
Biz•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Tu as probablement raison. J'ai voulu situer les premières photos dans leur contexte réel, la dernière est toujours la même église fortifiée sous un autre angle. C'est peut-être inutile dans ma démarche.
Supprimer(Pour la suite, il y aura un moment ou un autre, des photos d'un lieu que tu connais bien… on verra si tu le retrouves… pas évident si je ne mets que des « détails »…)
J'aime tout particulièrement le détail sur la première, le travail est fascinant.
RépondreSupprimerMais les gargouilles me mettent toujours mal à l'aise.
C'est curieux, quand j'étais en Vendée, j'ai aussi photographié des portes et des heurtoirs. Il faudrait moi aussi que je fasse quelques classements. :)
Pour ce qui est des gargouilles, je crois que c'est le but recherché : créer un malaise pour faire réfléchir à la condition humaine qui doit évacuer tout ce qui est néfaste en l'homme, comme la gargouille est le trop plein de la gouttière qui évacue l'eau pour protéger l'édifice.
SupprimerBon travail de classement : c'est un peu fastidieux quand même !